Dans une interview accordée au Parisien (page 5), le président du Medef rappelle en effet « ses "lignes rouges" intangibles : la réforme doit être financée, ne pas entraîner une hausse des cotisations et ne pas revenir aux anciens critères de pénibilité ». Il affirme notamment que « dans le cas précis des métiers pénibles, l’âge pivot s’appliquerait différemment, et certains salariés pourraient alors partir plus tôt », ajoutant : « Ce sont des avancées significatives de notre part. Mais cela signifie aussi que d’autres devront travailler plus longtemps pour équilibrer le système. »
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